Alors que le temps — avec l’arrivée de l’automne — a changé un peu partout dans l’hémisphère nord, notamment en Europe centrale, avec le mercure qui a baissé plus que d’habitude et l’apparition précoce et inopinée de pluies diluviennes, de crues des cours d’eau et d’inondations avec leurs cortèges de morts et de disparus, chez nous, la pluie se fait timide et tarde à nous arroser — ou si peu — de ses bienfaits ô combien souhaités. Pourtant les prémices sont là : baisse de la température, vents assez forts et nuages bien noirs et chargés de pluies. Que reste-t-il? La volonté divine. Alors, en attendant, que nos agriculteurs retroussent leurs manches pour ne pas être pris de court. Et que l’on procède également au nettoyage et au curage des oueds et surtout des conduites de l’Onas. Prévenir vaut mieux que guérir.